Concerts, conférences, stages
19 Octobre
Festival Licences, 16e édition, Ivry sur Seine
Méditation, sous forme d’étude électronique (2024) 10’00, création
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27 octobre
Etude aux sons empruntés (2024) 7’00 à partir des sons des élèves du Denshi Onkyo People Project
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CDs
1. Un nouveau double CD monographique est en préparation : autour des musiques mixtes, acousmatique et improvisation par Vincent Laubeuf
Avec le soutien de la Maison de la Musique Contemporaine
Bientôt plus d’informations et un appel à préachat
2. …on ne sait pas
Ce diptyque est composé de
« Dans le silence on ne sait pas » et de « Dans le bruit on ne sait pas »
+ un interlude « 5 miniatures »
L’intégrale a été créé lors du festival CCMC à l’Institut Français de Tokyo le 5 mars 2016
une coproduction ArtSonique / Motus
Critique de ce CD paru dans le Diapason de décembre 2019
» À l’écoute de ce programme, on sera tenté d’associer Vincent Laubeuf au versant« instrumental» de la musique acousmatique. Ouvrant Dans /e silence on ne sait pas (2015) par une citation de La Création de Haydn, le compositeur ancre la pièce dans le son acoustique, tout en lui appliquant de nombreuses transformations anamorphiques, avec une forte présence de l’électronique.
Au magma du « chaos » haydnien, puis a une ambiance naturaliste succédera une section bien plus orageuse, déclenchée par l’accord initial de Haydn (et son roulement de timbales) dont la citation avait été amputée. Un passage rythmé par des échantillons de caisse claire et autres instruments percussifs, possible allusion à la musique techno, se dissout ensuite progressivement dans une ambiance anxiogène de vents solaires et grésillements de ligne à haute tension. Dans le bruit on ne sait pas offre un matériau très proche, traité cependant de façon bien différente, notamment par le recours intensif à sa mise en boucles. Un motif mélodique cyclique soumis à un déphasage et un effet Doppler, des nappes harmoniques issues de Haydn, un scintillement électronique tendant vers le parasitage électrique, un bref appel de trompette fortement réverbéré et latéralisé, ou encore l’intégration de field recording : les moyens sont aussi simples que leur combinaison est sophistiquée. Un bel espace poétique et dramaturgique, qui n’aurait assurément pas la même profondeur s’il n’était pas préparé par le premier volet de ce diptyque. » Pierre Rigaudière 685 p 93
Rencontre avec Michel Chion, à la Muse en Circuit, à propos de la sortie du CD Requiem / Laudes chez Motus
Interview par Vincent Laubeuf
à voir ici